La chute de cheveux chez un homme est couramment précoce et abondante. Cette chute, appelée alopécie androgénétique, est accentuée par les hormones mâles, principalement la testostérone.
Chez la femme jeune, la perte inquiétante de cheveux peut également survenir dans un contexte de dérèglement hormonal suite à une grossesse ou encore pendant la période menstruelle. 
En effet, quand la jeune femme subit des règles abondantes, une carence en fer peut s'ensuivre. Le médecin spécialisé en chute de cheveux, corrigera ces carences ainsi que leurs conséquences sur la chevelure. 
Il faut savoir que les dérèglements hormonaux, peuvent se produire également lors de la ménopause.  

Il existe de nombreux traitements, dont l’efficacité a été prouvée par des études scientifiques, pour pallier ces troubles. 

Chez une femme jeune, la perte de cheveux localisée au sommet du crâne, appelée également alopécie, survient fréquemment suite à un stress intense ou à un choc émotif, tel qu’un deuil ou un accident ou une séparation… 

Une perte importante de cheveux chez une femme jeune, peut également survenir après:

• une dépression nerveuse, 
• un traitement médicamenteux puissant, 
• une « maltraitance » du cuir chevelu par des soins capillaires agressifs tel que l’application de teintures répétitives, de lissages brésiliens (kératine/ protéine / Collagène…), de décolorations, de permanentes…
• des régimes strictes, non suivis par un médecin qui sont très souvent pauvres en vitamines, en calcium, en magnésium et/ou en zinc, mais surtout en fer contenu principalement dans la viande rouge, Le déficit de ces derniers, indispensables dans le sang d’une femme jeune, accélère une perte de cheveux de façon précoce.